• Quelle ville fascinante ! Mais des endroits pareils, ça se mérite.

    Arrivée à Istanbul

    Le voyage, du côté bulgare, c'est une petite route de montagne, des chantiers et des lacets dans un parc naturel montagneux. C'est très beau, mais au bout d'un moment, le mal de coeur s'est fait sentir. Pause sur un dégagement, histoire de prendre l'air. Et comme un grand panneau se trouvait là, Laurent s'y est intéressé et a rapidement attiré mon attention  : il s'agissait d'une mise en garde contre la présence d'ours et de loups sauvages. Les petits maux furent vite oubliés et nous avons sauté dans la voiture !

     

     

    Arrivée au poste frontière ; le douanier bulgare veut juste vérifier que nous avions bien acheté la vignette obligatoire pour circuler en Bulgarie.

    Arrivée à Istanbul

    Arrivée au poste bulgare depuis la Roumanie.

    Puis nous passons au milieu de bâtiments vétustes, ous voyons quelques voitures arrêtées, mais personne, aucune indication non plus. Alors nous continuons jusqu'à la guérite du douanier turc. Celui-ci nous demande alors le stampil passeports, le stampil driver, le stampil bagages et nous indique que nous devons faire demi-tour. Là, nous voyons des panneaux demandant de garer la voiture. Nous nous exécutons, l'endroit ne se prêtant pas vaiment à la contestation. Nous entrons dans le bâtiment principal : immense portrait du président, flanqué de drapeaux (il y en a partout en Turquie, des drapeaux ) ; nous passons de guichets en bureaux pour collecter les indispensables "stampils". Il ne nous reste plus qu'à retrouver notre voiture pour franchir la petite barrière qui s'ouvre sur la Turquie.

    Arrivée à la frontière entre Bulgarie et Tirquie

    Arrivée à Istanbul

    Et là, quelle surprise de nous retrouver sur une superbe route de montagne, large, à plusieurs voies. Rien à voir avec la Bulgarie, si ce n'est le comportement des automobilistes et des routiers !

    Après un déjeuner dans une petite ville, nous empruntons l'autoroute. Aucune indication particulière, si ce n'est l'existence d'une file de télépéage que nous évitons. Nous nous engagons devant un genre de distrivuteur de tickets...qui ne distribue rien du tout. Laurent appuie sur ce que nous espérons être le bouton salvateur, et là l'opérateur nous demande de venir au parking (300 mètres derrière nous, qui sommes déjà engagés dans la barrière de péage (autant dire un parking impossible à atteindre sans prendre des risques inconsidérés). Nous préférons passer.

    Arrivée à la barrière de péage d'Istanbul : un capharnaüm total. D'abord, nous voyons des gars debout devant les caisses automatiques, certains automobilistes les appellent ; nous les prenons pour des employés d'autoroute. Ils nous vendent une carte qui nous permet de quitter l'autoroute. Ce sont en fait des vendeurs à la sauvette qui vendent des cartes bidouillées qui ouvrent la barrière, c'est tout. Et pour un montant qui vaut le double de celui du péage réel (mais c'est toujours moins cher qu'en France !). Et quand la barrière se lève, nous sommes happés dans un méli-mélo de voitures, de camions, de piétons (vendeurs d'eau, de biscuits, de montres, de bretzels enfilés sur de grands bâtons)! Oui, sur l'autoroute qui entre à istanbul, on ne distingue plus aucune file : poussière, bruit, gaz d'échappement, c'est le chaos le plus total ! Quel contraste avec la beauté de la mer de Marmara et celle de la Corne d'Or !

    Arrivée à Istanbul

    Heureusement, quelques heures plus tard, nous sommes installés dans notre hôtel : accueil charmant, parking réservé et petit déj sur la terrasse, avec vue sur le Bosphore et la Mosquée Bleue.

    Arrivée à Istanbul

    Arrivée à Istanbul

    Une vue plutôt agréable pour le petit déjeuner ! Et même pas réveillés à 5H00 du mat'


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  • Voiture toute propre, bagages en place, nous voilà partis pour la côte nord de Varna. Notre première aventure nous attendait au passage de la frontière, quand nous avons découvert le type de bac sur lequel nous allions franchir le Danube, à cet endroit où le fleuve marque encore la frontière entre les deux pays. Je vous laisse apprécier :

    Bulgarie : 1ère étape

    La barge qui accueille les véhicules est poussée par un bateau ici masqué par le poids-lourd (bah oui, il dépasse un peu, et alors ?)

    Bulgarie : 1ère étape

    L'alphabet cyrillique crée le dépaysement, mais quelques détails rappellent vite la Roumanie :

    Bulgarie : 1ère étape

     

    Bulgarie : 1ère étape

     

    Bulgarie : 1ère étape

    Les chevaux sont parfois remplacés par des ânes ou des mulets.

    Nous n'avons pas été émus par l'art culinaire des Bulgares, qui sont eux aussi gros consommateurs de porc et de poulet. Pour les amateurs, il reste toujours une valeur "refuge" :

    Bulgarie : 1ère étape

     

    Notre premier hôtel ne nous a pas déçus, si ce n'est par sa literie tout à fait stupéfiante : un petit protège-matelas posé sur le matelas apparent et un drap de dessus à vous donner de l'urticaire (pas grave, avec la chaleur, en coupant la clim,  on s'en passe très bien). Le bâtiment est tout neuf, les appartements confortables, le service hôtelier correct, mais on vous explique que rien n'est plus normal qu'un ballon d'eau chaude qui inonde la salle de bain, car on a eu quelques problèmes avec le constructeur. Et pour internet, on a vu un peu juste... dommage pour les Bulgares de ne pas être à la hauteur de leur réputation dans ce domaine. Mais apprécions le silence de la piscine (pas de musique pour une fois) et découvrons la Mer Noire...

    Bulgarie : 1ère étape

     

    Nous avons passés de très bonnes soirées en dînant sur cette plage où nous avons trouvé un restaurant qui faisait des grillades de moules et de poissons dans une grande cheminée. L'accueil y était bien supérieur à la moyenne bulgare, avec sourires, efficacité, efforts pour nous accueillir et bons repas à prix corrects. Puis nous avons eu la chance de trouver un restaurant grec plutôt haut de gamme, dans lequel nous nous sommes vraiment régalés. Quelques mètres plus loin, un peu plus en vue, une pseudo taverne essayait d'appâter le touriste avec une jolie terrasse ; ce n'est qu'une fois installés que nous avons pu consulter les menus et y découvrir des prix près du double par rapport à ceux pratiqués dans notre restaurant à grillades. Alors nous sommes partis et sommes retournés manger moules et poissons grillés, frais. Il faut le préciser car il est assez rare d'en trouver ici, quant aux fruits de mer, on oublie ! Ce n'est pas la Bretagne...

    Un petit passage au supermarché nous a quand-même permis d'observer que la Bulgarie offre un choix plus vaste de produits que la Roumanie. Le pays semble plus dynamique et le réseau routier est en plein chantier. Quelques très beaux axes ont été construits, mais les petites routes sont effroyables. Quant aux conducteurs, ils sont à peine moins dingues que les Roumains _ qui se sont vu attribuer la 25ème place sur 27 en matière de sécurité routière en Europe (les Bulgares sont n° 22) .

     

     


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  • Forcément, depuis que nous sommes en vacances, je n'ai plus trop la possibilité de mettre le blog à jour ; les Bulgares ne sont pas si champions que ça lorsqu'il s'agit d'offrir internet aux touristes, et les Turcs, n'en parlons pas ! Alors voici quand-même quelques nouvelles, en attendant des billets plus détaillés et surtout les photos !

    Après nous être remis de la nuit blanche passée dans l'ambiance d'un grand mariage roumain, nous avons commencé par aller à Varna, en Bulgarie, dans une petite station balnéaire sans grand intérêt, mais idéale pour décompresser : un hôtel au calme, sans musique autour de la piscine (si si, ça existe !), face à une petite plage, le long de laquelle nous avons trouvé un bon restaurant grec et un établissement bulgare tout à fait correct (et ce n'est pas peu dire, car on n'est pas au pays des gastronomes !). Ensuite, nous sommes descendus à Istanbul, où nos mollets ont été largement mis à contribution. Puis nous sommes retournés en Bulgarie, à Nessebar, où nous avons découvert le luxe bling-bling tel que le conçoivent les pays de l'est (ça en jette, ça oui !). Et nous voici à présent à côté d'Obzor,  sur l'un des rares sites du littoral bulgare qui laisse encore un peu de place à la nature.

    Alors à bientôt !

     


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  • Hello Trudy, Adriana and Gabriela !

    It was really nice to meet you in Bucharest. You probably had a very happy party. I enjoied our breakfast and I also went to Picasso. I couldn't find the scarf I was looking for, but other beautiful items.

    See you soon (Trudy, I wish you wouldn't live so far away!) !


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  • Oups, je viens de voir que j'avais oublié de mettre un article en ligne. Il est un peu défraîchi, mais le voici néanmoins.

    Nous venons de passer deux jours bien agréables sous le soleil de Bucarest. Cette fois, j'en ai profité pour découvrir les zones de shopping (où je n'ai rien acheté) et cet après-midi, ce fut Ikéa (évidemment, nous avons acheté des trucs (pas) complètement inutiles). Le magasin est bien conforme à ceux que je fréquentais en France, sauf l'épicerie qui propose moins de produits (pas de saumon fumé frais ici). En ville, j'ai été frappée par les perruques qui sont proposées à côté des chaussures et des tenues "chic" : une même boutique propose perruques, accessoires et tenues habillées ; une autre vend exclusivement des postiches, coincée antre les robes de mariées et tenues de soirée. Je ne sais pas s'il est coutumier de porter une perruque pour les occasions. Je vais peut-être m'amuser un peu un peu lors de ma prochaine visite à Bucarest !

     

     

     

     


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